L'Ecole de Léningrad

Ce roman raconte un destin politique de 1985 à…2014. Nice, 1985. Jean Blanquin, participe à un Congrès sur les Sciences de l’Education. Exaspéré par le discours creux d’un psychosociologue médiatisé, il s’en prend au pédant en inventant une Ecole de Léningrad des Sciences de l’Education. Les russes feront de cette créature imaginaire une Ecole mondialement connue. Loin de desservir le héros, l’épisode le mènera de succès en succès, jusqu’au sommet de l’Etat. Blanquin est un Rastignac de circonstances, un surfeur d’évènements fomentés par d’autres et le hasard. Même s’il est capable d’opportunisme. On dira de lui que c’est un suiviste qui s’engage. Mentors et soutiens cachés facilitent l’ascension politique du héros. Les liens occultes et troublants qui les relient se font jour au fil du récit. D’abord, un ministre projette sur lui les désirs qu’il n’a pu assouvir. Les raisons des autres sont du ressort des fils invisibles et mystérieux unissant les êtres.