Hommage à Barcelone Drosera des jeunesses d’Europe

Le Spectacle des Mondes n'alimente plus les légendes des siècles. Les érosions des vies communes tiennent lieu de marketing de civilisation de consommation. Les frénésies des villes d'attraction ne sont pas en globalisation des espaces de rassemblements où l'on échange pour refaire le monde. Barcelone: attrape, englue et digère, souvent en peu d’années. Les fracassés de trottoir, qui s'en sont sorti, n'aspirent plus qu'a des semaines de petits vieux dans d'emplois tendances. Les gestionnaires gèrent en grandes absences de connaissances. À peine, quelques scrupules les effleurent. Ceux qui contemplent observent que les analyses de système servent pour dissimuler. Il ne s'agit pas de résoudre ou secourir, puisque l’affaire de la ville n'est plus de paraitre amusante. L'affaire de la ville n'est que paraitre et ne pas préserver les minimaux humains sensés ou astucieux pour éviter les salissures de vies isolées : recyclage. Aux lies des innocents défavorisés en consommations, les films prédateurs englués de fleurs carnivores de civilisations médusées; Barcelone en ses parterres de fleurs carnivores : Sodome est chose privée si sans détournement de drogues pour viols inconscients. Gomorrhe suit les temps plus difficiles. Aux fragiles, qui se sont crus forts, souvent déjà pauvres, devant aussi faire attention aux marges d'accidents qui s'enchainent : papiers, ressources, plaies ; s'ils ne sont plus là comme coquilles de corps digérés par la ville.