Contemplation

Contemplation est un livre philo-poétique traçant par métaphore et parabole le parcours d'un contemplateur en l'Iran antique par ce fait "Contemplation" explique l'ensemble des théories émises par l'essayiste et philosophe Pierre-Henry Reynaud de Madrid, il se veut être une nouvelle forme de généalogie exposant ainsi différents nouveaux concepts : Le concept de la possibilité d'existence de "pré-force" ou "force primitive" en les concepts de forces réactives et actives de Nietzsche, extrapolant ainsi ces concepts à un ensemble plus général et s'expose ainsi en tentative d'explication de la composition générale de ces forces avant de poursuivre sur deux essais de poésie et l'émanation d'un concept des "Affluences" c'est-à-dire le monde et l'être saturé par l'imprégnation des métaphysiques en quoi il demeure. Contemplation est également la remise en question des morales contre-innées et de la justice traditionnelle. Par ce total de onze concepts Pierre-Henry Reynaud de Madrid tente d'expliquer l'intérêt de l'apparition d'une généalogie amenant à la tempérance et la contemplation. Fortement inspiré des travaux de Nietzsche et de Heidegger il s'expose en un ensemble de métaphores et de paraboles romancées à l'image de "Ainsi Parlait Zarathustra". Ce livre ne se veut être l'émanation d'un égo, mais au contraire un appel sérieux à contrer l'entre-soi et les sophismes kafkaien, ce livre ne résulte donc d'aucun ressentiment ni de prétention particulière mais est une volonté de remise en question d'un ensemble et du soi, une psycho-analyse de toutes entités le tout en un essai poétique "Contemplation" mettant en scène différents concepts imaginés et proposés par le philosophe en vertu d'une vision nouvelle de la captation de l'être. Dans cet ouvrage, l'auteur expose le principe de l'éternel-retour, non pas dans le sens nietzschéen, mais dans celui des civilisations. En désaccord avec son précédent livre Contemplation, l'auteur a néanmoins choisi de le laisser accessible. Cette décision témoigne de l'humilité face au "confusionnisme possible en philosophie" et d'une volonté d'admettre les erreurs d'analyses passées, car, comme il le souligne, "désaccord n'est pas conflit".