« Quand le temps était très sublime, ou les beaux poissons volants du Château de mon cœur, bonjour à toi, ou un amour de paysage de France, ou loin des sectaires et des préjugés, n°1 ! »

Chapitre XIX J’aimais ce château si haut, où la pierre taillée souriait au vent, comme la touche de l’encre qui signe sa note si musicale, qui chante le rire et le sourire de sa gente symphonique, sous un ciel si claire qui se déroule toujours plus intense comme la profondeur, une profondeur ardente simplement la touche de ce bleu si pure comme une entente qui plonge la main dans ce pinceau là qui dessine si prononcé, que le haut est d’une perfection qui échappe à la mer plus subtile encore et sans les mots à décrire, moi, j’en rêve encore plus fort.